photo Dîner-concert à Laon avec La Bonne Heure

Dîner-concert à Laon avec La Bonne Heure

Musique, Concert

Laon 02000

Du 15/03/2024 au 15/03/2025

C’est l’histoire d’une rencontre originale entre Brian, homme-orchestre irlandais, Madalina, violoniste baroque roumaine et Hugo, ukuléliste français. Tous trois sont passionnés par la musique Folk et ses sonorités acoustiques. Par leur incroyable énergie sur scène, leur musique réussit à transformer - le temps d’un concert - une scène intimiste en grande fête populaire ! A retrouver à La FabriK dès 20h30 ! (réservation indispensable)

photo Concert Blues - Ady + Philippe Ménard

Concert Blues - Ady + Philippe Ménard

Jazz - Blues, Musique

Morlaix 29600

Le 01/04/2025

Une soirée avec deux One Woman / One Man Blues Band sur scène ! Ady, alias Ady One Woman Band, est une musicienne polyvalente. Percussions aux pieds, guitare ou cigare box en main, mêle avec modernité Blues, Boogie et Rock’n’Roll dans ce projet unique en France. C’est le blues qui coule dans ses veines et façonne sa voix. Sa voix puissante et ses performances captivantes lui ont valu une reconnaissance croissante sur la scène musicale jusqu’à obtenir le 1er prix France Blues dans catégorie Solo/Duo en 2024. Des hommes-orchestre, on en voit de plus en plus en France, mais quand on pense One Man Band, le premier nom qui vous vient en tête, c’est celui de Philippe Ménard. C’est la référence. Depuis plus de 20 ans, il parcourt opiniâtrement la France et l’Europe pour proposer avec talent, sincérité, humilité et passion, sa musique à la fois blues et rock.

photo Dédicace de Rozenn Milin -  La honte et le châtiment

Dédicace de Rozenn Milin - La honte et le châtiment

Conférence - Débat

Pont-l'Abbé 29120

Du 15/02/2025 au 15/03/2025

Rozenn Milin présente sa thèse "La honte et le châtiment" (éd. Champ Vallon) L'imposition du français: Bretagne, France, Afrique et autres territoires L’une des plus grandes mutations que la Basse-Bretagne a connues au XXe siècle est le changement de langue. Jusqu’aux années 1950-1960, la principale langue familiale dans les campagnes était le breton, que tous connaissaient et transmettaient de génération en génération. Quelques décennies plus tard, il n’est plus parlé quotidiennement que par quelques dizaines de milliers, voire quelques milliers de personnes. Comment une langue autrefois florissante a-t-elle pu décliner aussi vite ? Quel a été le rôle de l’école et de méthodes comme celle du « symbole », un objet stigmatisant dont on affublait les enfants qui commettaient la « faute » de s’exprimer dans leur propre langue ? Et quelles conséquences ces pratiques vexatoires et parfois violentes ont-t-elle eues là où elles étaient en usage, dans les différentes régions de l’Hexagone, mais également dans beaucoup de pays européens, au Japon, et jusqu’aux anciennes colonies d’Afrique subsaharienne ? Historienne de formation, Rozenn Milin est titulaire d’un doctorat en sociologie.[...]